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Angel_2oo8
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MessageSujet: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyMer 4 Juin - 23:33

Galerie Angel_2oo8


Bonjour chers membres de Gaylight, voici ma galerie de texte et de poème, j'espère que vous me laisserai des commentaires! Chaque texte aura une description de celui-ci avant l'histoire, puisque j'ai certains récits qui ne sont pas pour des jeunes.

Bonne lecture sur ma galerie !

Angel_2oo8


*******


Sommaire



Dernière édition par Angel_2oo8 le Jeu 5 Juin - 0:04, édité 7 fois
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Angel_2oo8
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MessageSujet: Re: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyMer 4 Juin - 23:35

Citation :
CECI EST UN YAOI ! INTERDIT AUX MOINS DE 15 ANS !!

Roméo, Oh mon Roméo pourquoi es-tu un homme ?



Prologue

Une forêt calme, des feuillages berçaient doucement dans l’air tiède d’un mois tourmenté. Deux corps enlacés autrefois chauds, maintenant glacés comme la neige froide sur le bord d’un trottoir de printemps. Leurs lèvres bleues ne se touchaient pas, mais la distance pouvait permettre de tromper le spectateur. Cette scène….si macabre et si passionner d’amour. Ah, détrompez-vous, nous n’avions pas affaire à un Roméo et sa Juliette, non loin de cela et si l’on réinventait ce classique sous le nom de Romeo au carré ? Ne serait-ce pas aussi romanesque que ce bon vieux couple Roméo et Juliette ? Hum, non, n’est-ce pas ? Malheureusement, vous devrez observer de haut l’histoire d’un couple qui fut un jour heureux, mais qu’à cause de cette intolérance à leur tendance, cet orientation sexuelle, ils périront…Bien entendu, une histoire se lit mieux avec un début n’est-ce pas, cher lecteur, cher spectateur attentionné ? Bien installez-vous et savourez - ou plutôt découvrez, un désir interdit, un désir qui malgré qu’il soit peu connu de tous, restera gravé en ma mémoire…puisque c’est la mienne…

Chapitre un

Toutes les classes se vidaient peu à peu avec le temps et bientôt il ne resta que lui, assis au fond de la classe, penché sur son examen, puis moi un peu dans la lune ne prenant pas mes études au sérieux comme à mon habitude. De toute façon mes parents se foutaient bien des notes de leur fils « chéri », la drogue et le jeu étaient des attraits bien plus apaisants. Nous étions la dernière journée d’école, après je dirai adieu au secondaire et bonjour à ma vie d’adulte, moi, Élyane Gagnon, j’aurai enfin ma majorité aujourd’hui, enfin dix-huit ans, tout pour m’enfuir de ma maison et de ce style de vie ennuyant.

« - Hey, Élyane ! Réveille-toi et termine cet examen. Il n’y a pas que toi qui as hâte d’aller dîner ! Répliqua plus fort Anthony, le surveillant que je connaissais bien. »

Je soupirai et me replongeai dans mon examen, après une bonne dizaine de minutes de travail intense, je remis enfin mon examen et sortis mon Ipod pour l’écouter d’une oreille pendant que Anthony me disait de ne pas l’écouter avant de sortir de classe.

« - Ouais, ouais…, murmurai-je. »

Je posai un dernier regard sur l’autre élève qui n’avait pas terminé, c’est sûrement la seule fois qu’il releva la tête pour croiser mon regard, je lui fis un sourire baveux comme pour lui dire que lui il avait encore du travail à terminer. Je me dirigeai vers la salle des casiers en sortant une cigarette et sortis dehors. Tout le monde avait quitté l’école puisqu’il n’y avait pas d’examen en après-midi. Puis qui aurait resté dans cette bâtisse un instant de plus pour rien. J’humais lentement ma cigarette quand l’élève de la classe de tout à l’heure sortait dehors. Chemise noire, frange noire au vent et ses yeux maquillés me regardaient, encore un de ces emos énervants qui ne cessent de te prendre pour plus bas qu’eux-mêmes1. Je terminai ma cigarette et décidai de m’amuser un peu, je recrachai la fumée avec un sourire aux lèvres avant de la jeter par terre et d’aller voir le garçon en question qui ne cessait de me fixer. Je me mis à côté de lui et me rapprochai pour me coller à lui et dis avec méchanceté :

« - Alors t’aimes-tu ça ? Me semble que tu me mattes depuis tout à l’heure, c’est quoi ton ‘tit nom mon coquin ?

- T’as pas besoin de savoir mon nom…, dit-il sans intérêt.

- Mais ben sûr t’sais sans ton nom comment j’peux combler tes plaisirs de jeune homme en manque ? Demandais-je avec le plus de sérieux que je pouvais.

- T’as juste à te débrouiller…, répliqua-t-il toujours aussi indifférent.»

Je me mis en avant de lui et le plaquai sur une des surfaces horizontales la plus proche et le menaça à deux centimètres de son visage :

« - Écoute ben, j’veux juste savoir ton nom, c’pas dur à moins que tes parents soient trop innocents pour t’en avoir donné un. »

Puis, sans dire un mot, il m’embrassa. Surpris, je ne fis rien, pourtant je savais bien qu’il ne faisait ça que pour me dégager afin qu’il puisse s’enfuir. Malheureusement, son geste eut l’effet contraire. Mes lèvres se décolèrent en une fraction de seconde et je lui donnai un coup de poing en plein sur la tête. Il tomba directement par terre, les yeux ouverts, du sang coulait de ses oreilles et de sa bouche, il n’avait plus d’expression dans ses yeux. À cette vision, je paniquai et pris la fuite. Il était mort là, comme ça, sur le terrain de l’école, si les policiers découvraient les traces de mes mains sur lui je serai coupable et on m’enfermera en prison. Je venais d’avoir dix-huit ans et ce n’était sûrement pas mes parents qui prendraient ma défense. Je courrais à en perdre haleine, je venais à peine d’être adulte et voilà que je fuyais, je venais de tuer quelqu’un.

« - Merde, merde, faut pas qu’on sache que c’est moi, sinon j’suis fini…faut que j’déménage, que je change de ville. « Fuck off » le DES de toute façon je l’ai pas et pis personne le saura dans cette autre ville là, c’est ça…, tentais-je de me convaincre. »

__________________________________________________________________
1. NDA : Je ne suis nullement emophobe, ce n’est que le personnage qui l’est, donc ne portez pas à confusion les propos des personnages et ceux de l’auteure, moi.


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Dernière édition par Angel_2oo8 le Jeu 5 Juin - 0:04, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyMer 4 Juin - 23:38

Citation :
CECI EST UN YURI ! INTERDIT AUX MOINS DE 15 ANS !!

Prologue

L’eau était glacial, à peine eus-je trempé légèrement mon corps qu’il se retrouva meurtri par des milliers de lames tranchantes. Enfin c’est ce que cette rivière tentait de me faire croire, puisse qu’entre nous, cher lecteur, il n’y a aucune lame dans cette eau sans fond apparent. Qu’est-ce qui m’avait insisté à sauter dans les bras de la mort ou du moins c’est ce qui m’arriverait inévitablement ? Je n’en savais rien du tout, une âme invincible, une âme de meurtrier peut-être ? Qui pouvait bien savoir dans cette confusion qui durait depuis des mois et encore. Un accident ? Une parole sans doute ? Tant de questionnement et si peu de temps pour y penser, plus le temps avance et plus mon cerveau commence lentement à s’engourdir. Mes pensées deviennent sans pouvoir l’éviter embrouiller, sombre, comme cette cape qui voltige en sentant l’odeur d’un nouvel esclave à ses ordres sans fin. Combien de gens vont-ils pleurer cette mort innocente ? Deux ou bien dix ? Peu importe, je sais très bien que le processus d’hypothermie est trop avancé pour l’arrêter de moi-même. Je me mit à regarder en haut en espérant voir un visage, son visage venir me sauver me dire que j’étais folle d’avoir sauter, mais rien. Bien sûr peu importe n’importe qui aurait pu venir sans nul doute n’est-ce pas ? Saurait pu être logique dans une autre circonstance que la mienne, puisque nous étions les seules à connaître cette endroit si merveilleux, cachant lentement de jolis souvenirs. Je sentis mes poumons se vider peu à peu de son air et mon cerveau devenir totalement froid et presque sans vie, je pouvais même entendre ce rire sadique et d’une joie qui la faisait jubiler, la mort, qui n’est pas plus cruelle qu’elle? Après tout, elle avait enfin réussi à m’avoir, à m’obliger de sauter. Tout commençais à devenir flou, ma vue s’abaissait, puis voilà qu’à peine la mort pu toucher mes doigts, qu’une main d’une chaleur inimaginable vint me chercher et me sortir de la rivière, c’était d’ailleurs surprenant que je n’aie pas bougée d’un pouce depuis mon saut. Au loin je pouvais entendre la mort hurler de rage de m’avoir encore manquer de peu. J’eus un petit sourire faiblement visible et derrière mon cerveau totalement ralenti je pouvais percevoir un ou deux mots de ma sauveuse qui étaient « Folle de sauter ! ». Tout ce que je répondis à voix basse ce fût :

- Pas de chance la mort…tu as encore échoué…

- Qu’est-ce que tu as dit Kael ? Demanda une voix mi furieuse et mi inquiet.

- Rien Nayomie…je parlais à elle, murmurais-je sans vraiment de force.

- Hum…je vois, dit-elle en soupirant, bon vient on va t’amener à l’intérieur pour te réchauffer, non mais je te jure que des fois tu fais totalement la conne, finit-elle en me soulevant.

Mes yeux restèrent tout de même à demi clos, je voyais le paysage défiler sous mes prunelles vert émeraude, un saule fût l’image qui resta le plus longtemps dans ma vision de vue, c’était un signe que nous n’étions plus très loin de chez Nayomie. Son terrain était entouré d’arbres, elle habitait sur une surface des plus vaste de la rue, même que je pouvais me permettre presque du quartier, enfin ses parents plutôt. Je sentis qu’à mi chemin enfin de l’air se permettait de pénétrer mes poumons sans effort, l’air était brûlant que je me croyais déjà en enfer. C’était donc ça la sensation après avoir frôler la mort ? Une sensation d’être déjà mort ? Puis avec le temps, mes mains commencèrent à me faire mal et pour continuer sur tout le long de mon corps. Avais-je mérité cette douleur atroce ? Sûrement, après tout qu’en pensez-vous cher lecteur ? Des larmes coulèrent tranquillement sur mes joues me faisant dix fois plus souffrir, malgré le fait que Nayomie me faisait des reproches sans cesse, je savais qu’elle détestait me voir souffrir, enfin c’est que mon cerveau voulait espérer et se faire croire si c’était faux ou non il s’en fichait.

- Tu vois ce que ça fait de vouloir se tuer et de se manquer ? Haussa-t-elle avec colère, tu le vois maintenant ! Merde je n’arrive pas à croire que tu as fait ça !

- Je…m’excuse, murmurais-je cette fois avec plus de difficulté.

- Ça ne change rien au fait que tu aurais pu mourir triple idiote ! Hurla-t-elle les larmes aux yeux, qu’elle tenta de cacher.

Je ne répondis rien, je savais impertinemment qu’elle ne voudrait rien entendre, en tout cas pas maintenant. Elle était bien trop en rogne contre moi et je suppose qu’elle voyait qu’elle avait passée près de me perdre, c’était peut-être égoïste de penser cela, mais je ne pu m’empêcher. Avec l’espoir que cette tentative l’a fait voir comment elle m’a blessée et comment elle me manque. Malheureusement c’était sot de ma part et je devais bien le reconnaître, pourquoi croirait-elle que je l’aime toujours si je me tue, cela ne prouve-t-il pas le contraire ? Une crampe me fit arrêter ses pensées sombres, mon cerveau commençait à reprendre doucement conscience. J’avais le corps orné de tous les sens de douleur impensable, c’est ce que m’avait donner en cadeau la mort pour l’avoir une fois de plus déjouer. Le temps passait si lentement, nous n’étions même pas à la moitié du terrain, étais-ce à cause de cette douleur que tout passait au ralenti ? En fin de compte, nous avions payées les deux dans cette connerie non ? Nayo avait une douleur intérieur et mentale puis moi elle était physique et extérieur. Je faisais de la température sans aucun doute, j’étais brûlante, je le sentais dans ma bouche et sur mon front reluissent de sueur et d’eau devenu tiède depuis ma sortie de la rivière. Ma respiration restait quelques peu saccadée, mais heureusement elle se replaçait plus nous avancions vers la maison. Quand je pénétra dans la maison de Nayo je ne pus empêcher un hurlement de douleur traverser mes lèvres, la douleur était plus intense qu’elle ne l’avait été depuis le début. Une chance que ses parents n’étaient pas là sinon quelle tête ils auraient fait en me voyant dans cet état critique.

- Tu vas y repenser à deux fois avant de refaire une hypothermie hein Kael Vistalli ! Reprocha furieusement Nayomie.

- Oui…je t’ai répondu que j’étais...

Je n’eus pas le temps de terminer mon excuse minable puisse que Nao venait de me mettre des vêtements chaud sur le corps pour tenter de tout stabiliser et arrêter ma douleur, ce qui m’arracha un hurlement. Puis avec les secondes, je m’endormis et c’était un noir complet. Lorsque je me réveillai, je n’avais presque plus mal à la peau et toutes les autres douleurs s’étaient atténuées. Je me releva doucement et vit Nayomie faire un petit truc à manger pour moi. Nayo ne put s’empêcher de sourire lorsqu’elle me vit réveiller et je vis que l’inquiétude avait cessé de briller violemment dans ses yeux d’un bleu envoûtant.

- Donc, tu as moins mal Kael ? Demanda gentiment Nayo, sa colère tombée.

- Oui, merci de m’avoir sauver…je m’excuse encore de..., commençais-je en vain avant que Nayo m’interrompe encore sèchement.

- Je ne veux pas d’excuses…elles ne pardonnerons pas ton geste et tu le sais j’en suis sûr, coupa-t-elle.

Je baissa la tête, décidément elle ne voulait rien savoir, je l’avais prévu, je savais bien que Nayo était le genre de femme à s’inquiéter d’abord de ses amies et de ceux qu’elle aime avant elle, mais aussi elle détestait à un tel point ce sentiment qu’elle dégageait toute cette peur et cette inquiétude en colère et en rancune qui selon moi était d’une total inutilité, puisqu’elle savait qu’elle ne me remplirai pas avec ses histoires, même si cette fois, elle avait sûrement raison d’être en colère noire contre moi. Je n’avais pas fait une petite bêtise, j’avais presque signé mon contrat avec la mort. Je soupira et replia mes jambes sur moi-même avant de regarder par la fenêtre du salon tandis que Nayo était toujours en train de me préparer à manger. Je me mis à observée Nayo, quelle jeune femme magnifique, elle n’avait que dix-sept ans et elle avait la beauté d’une jeune dame de vingt ans, enfin je regarda ses cheveux d’un noir éclatant et long, j’avais d’ailleurs toujours enviée ses cheveux à cause d’une seule chose, son type, il était raide tout le temps presque pas besoin de les peigner le matin, moi des cheveux qui n’était pas tenable. J’étais tellement absorbée par mes pensées rêveuses que je n’avais nullement remarqué que Nayo faisait passer une assiette comportant un sandwich pour moi depuis déjà cinq minutes au dessous de mon nez. Ce ne fut que lorsqu’elle m’interpella que je remarquai enfin qu’elle se trouvait en face de moi.

- Hey Oh ! Tu sais je ne tiendrai pas éternellement ce sandwich hein, répliqua-t-elle avec un sourire.

- Je…eh…ben merci, bredouillais-je avec gêne, si seulement elle savait d’où venait cet air absent.

Nayo me sourit et eu un petit air de dire que ce n’était rien. Je l’observa et lui rendit son sourire tout en dégustant le sandwich sans rien demander de plus, bien évidemment je ne pu m’empêcher de la regarder et de seulement imaginer certain moment que nous avions eut ensemble. Nayo vint s’asseoir auprès de moi après que j’ai calmement terminer d’avaler mon encas et elle vint s’asseoir pour tenter cette fois de me parler d’une manière civilisé, elle devait se demander pourquoi j’avais parler à la mort lorsqu’elle m’avait sauver, je pouvais le percevoir dans ses yeux. Si seulement elle pouvait savoir que la mort était autour de nous en permanence j’aurai pu mieux lui faire comprendre. Puisque je voyais la vie de cette façon, la mort nous entourent toujours et attend patiemment le moment de notre mort pour doucement jubiler de cette chance d’avoir une autre âme qui peut la servir. Comment expliquer cela à Nayo ? Je ne me voyais pas du tout lui dire « Hey Nayo, bah en fait tu vois la mort nous entourent et attend sagement que l’ont meurt et voilà qu’elle a encore rater sa chance de m’avoir ! ». Non mais sérieusement cher lecteur croiriez-vous à ses sottises ? Nayo était toujours en train de me fixer et de ne rien dire, elle savait que je percevais ce qu’elle voulait savoir, elle n’attendait qu’attentivement la réponse pour essayer de la comprendre le mieux possible. Au début, tout ce que je fis c’est sourire bêtement, rien d’autre, pas plus ni moins, non mais qu’auriez-vous fait à ma place cher lecteur ? La même chose n’est-ce pas ? Enfin qu’importe voilà que je décidai de me lancer :

- Bah eum…tu vois moi j’ai une vision bien spéciale de la vie et de la mort…tu vois moi je…hum…disons que selon moi la mort nous entourent et qu’elle ne fait qu’attendre sagement, des fois elle est impatiente et tente de raccourcir le temps et des fois elle attend, tout dépend de son humeur, expliquais-je la voix tremblante.

- Je vois…donc si ce que tu dis est vrai, la mort se trouverait à côté de moi et toi en espionnant nonchalamment notre conversation ? Se moqua-t-elle.

- Je savais bien que c’était inutile de te le faire comprendre ! Hurlais-je presque hors de moi qu’elle ose rire de ma théorie, des larmes de rage me monta aux yeux.

Je me leva et prit mon manteau dans le hall d’entrer avant de sortir en colère et triste que cette fille que j’aime tant, qui est tout pour moi est osé une fois de plus me blessée. C’est vrai après tout, elle m’avait brisée le cœur en me laissant pour une fille qu’elle ne verrait évidemment jamais et je m’en était remit, mais elle réussissait toujours à me détruire autant s’en rendait-elle comptes au moins ? Lorsque je fût arrivée à la rue je tourna à gauche pour arriver sur une autre rue qui menait vers la rue principale de la ville. Bien emmitouflé dans mon manteau à cause du froid, ma peau recommençait un peu à être douloureuse, mais rien de bien grave. Je renifla et regarda devant moi ses yeux embrouillés de larmes, lorsque j’entendis des pas courir vers moi.

- Kael attend ! Cria une voix de toutes ses forces.

- Fous moi la paix Nayo ne m’as-tu pas assez meurtri tu veux m’en faire plus c’est ça ! m’emportais-je en me tournant et me dirigeant vers elle pour n’arriver qu’à quelques mètres d’elle.

- Mais de quoi tu parles bordel ne me dit pas que tu parles encore de cette séparation et de cette fille ? Répliqua-t-elle agacée, Ça fait bientôt un an et tu ne t’en ai pas encore remit c’est qu’il y a un problème non ?

- Cesse donc de mettre toute ta peur et ton inquiétude en colère pour une fois Nayo, tu crois que je ne remarque rien peut-être ? Je sais très bien que tu comprends sans doute cette tentative tu la comprends mieux que quiconque et on dirait que tu te voiles la face merde ! Criais-je en colère noire.

Nayo ne dit rien à cette instant et resta figée là à me regarder, moi qui était en colère, tremblante de froid et reluisante de larmes.

- Je t’aime encore espèce d’idiote ! Je t’aime encore comme une folle et malgré tout je n’arrive pas à t’oubliée. Tu es trop tout pour moi ! Déclarais-je enfin.

Elle ouvrit la bouche, mais rien ne sorti, aucun son, pas de gémissement rien du tout, elle ne savait pas quoi dire et je le remarquais plus que tout. Tout ce qu’elle pu faire c’est s’approcher de moi, puis me serrer dans ses bras, je tremblais comme une feuille et j’avais mal, autant extérieur qu’intérieur cette fois, tout recommençait à ce mélanger. Pourquoi la mort me voulait aussi rapidement ? Étais-je une si bonne esclave pour lui ? Puis lorsque la chaleur de Nayo vint valser doucement avec ma froideur, ses idées partirent sans laisser de traces sur leur passage. Je fermai les yeux, me laissant bercer par le vent, par l’odeur enivrant de Nayo et par cette danse de chaleur autour de nous, parfois nous sentions du froid, puisque je voyais ou plutôt sentais Nayo sursautée. Nous sommes resté plusieurs minutes ainsi avant qu’elle réussisse enfin à me dire quelque chose.


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Dernière édition par Angel_2oo8 le Mer 4 Juin - 23:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyMer 4 Juin - 23:50

Citation :
CECI EST UN YURI INTERDIT AUX MOINS DE 15 ANS

Suite de True love forever !!

- Je suis désolée…je n’aurai pas du…je n’aurai pas du rire de toi, expliqua-t-elle.

Je fis un sursaut au début, étais-ce encore un effet de mon cerveau ou bien elle avait hésité à dire sa réponse ? Allait-elle dire autre chose ? Ou bien ce n’était que trop d’émotion à me voir si mal en point ? Un mal de tête me repris et je décidai de ne plus y penser et de ne pas me faire encore plus de mal.

- Je t’invite à dormir ce soir et c’est une obligation et puis de toute façon tu ne peux pas dire non, ta famille à bien signé un contrat avec ta famille d’accueil la semaine dernière pour que tu es droit d’aller où tu veux, c’est pas compliqué tu pourrais presque habiter chez moi ! S’exclama-t-elle.

- Ouais, dis-je sans résistance et en la suivant.

Il était vrai que depuis près d’un an j’habitais chez une famille d’accueil, afin de me renier, puisque par je ne sais quel moyen, mes parents avaient réussit à savoir ma relation avec Nayomie et m’avait envoyée illico presto dans une famille d’accueil qu’ils connaissaient, l’aspect positif c’est qu’au moins le gouvernement et la lois n’en connaissaient rien. Et puis ils n’en sauraient jamais rien même s’il advenait à ce que je déménage chez Nayomie. D’ailleurs ma famille d’accueil autant attentive qu’elle pouvait être ne s’inquiétait pas pour moi, je n’étais pas leur vraie fille après tout, c’est ce que mon père « adoptif » ne cessait de ne me répéter lorsque ma mère « adoptive » s’inquiétait pour moi dans les début, puis plus le temps passa et plus il ne finir par ne plus s’inquiéter pour moi.

Nous rebroussions chemin lorsque Nayo proposa de partir au vidéo club s’acheter des jeux de Playstation deux, ce qui me fit monter un sourire sur mes lèvres. Elle savait que j’adorais les jeux vidéos et que j’avais du lui donner ma console puisse que mon « frère » en avait déjà une et qu’il était inutile d’avoir deux console, mais j’avais également donner mes jeux je ne tenais pas à les laisser là-bas. Je regardai le ciel qui commençait à prendre des teintes de jaune–orange, le soleil se couchait avec le ciel comme toujours, je devais avouer que malgré que nous soyons dans la ville cette vue était tout de même sublime et presque romantique sur certain point. Durant le trajet elle tenta de me faire rire ce qui marcha à une ou deux reprise. Nous étions presque arriver et avions enfin finit de rire qu’elle dit enfin :

- Tu sais Kael…je…en fait tu vois…je ne voulais pas te laisser…c’est juste que…bah tu sais quand tes parents ont su pour nous…j’ai prit peur comme toujours et….bah…j’ai dit un tas de connerie cette journée là…je m’en excuse

- M’aimes-tu toujours ? Tentais-je avec un brin d’espoir en voix.

- Peut-être bien, dit-elle seulement un sourire aux lèvres avec ses yeux énigmatiques.

Peu m’importait si c’était un oui ou un non ça me fit simplement sourire, que le fait de savoir que mon cerveau avait sûrement raison m’étais suffisant, puis cette fois même mon cœur se mit de son avis.

Chapitre un

Un haut le coeur me prit et une douleur au ventre fit signe de présence, je tremblais et me sentais toute à l’envers, quelqu’un tenais mes cheveux afin qu’ils ne se salissent pas, tandis que moi je faisais ami-ami avec la toilette et que j’avais l’impression de m’auto vomir l’estomac. J’avais le tournis et le front plein de sueurs tandis que des larmes de douleur se traçait sur mon visage. Je ne savais plus trop où me mettre, mais la main de la personne qui « m’accompagnait » me faisait sentir un millième mieux, mais après tout cher lecteur qui se sentirait bien à être malade ? Franchement je ne connais personne qui serait heureux de vomir ses tripes. Lorsque enfin mon cœur ou plutôt devrais-je dire mon estomac me laissa un moment de répit, je pus relever la tête de la bol et tirer la chasse pour m’essuyer et enlever les larmes de sur mes joues.

- Tu vas mieux ? Demanda doucement Nayomie.

- Je…je crois…ça fait des mois que je suis ainsi…, murmurais-je amèrement.

- Allez vient on va aller se recoucher…brosse toi les dents, je t’attend dans la chambre, répondit Nao.

Je soupira et fit ce que Nao m’avait recommander de faire avant d’aller à sa chambre encore une fois ses parents n’étaient pas là, c’est à ce demander s’il était dans cette maison ou non. Avant d’entrer dans la chambre je me pris un verre d’eau et regarda l’heure, il était à peine une heure du matin. Nous avions joué durant des heures aux jeux vidéos, j’ai même crut à un moment que j’allais véritablement l’embrasser, mais je ne pouvais pas. Ah non pas que je ne voulu pas cher lecteur ça j’en mourrait d’envie, mais elle était avec quelqu’un d’autre maintenant qu’importe si elle m’aimait ou non encore. Je termina ma dernière gorgée et me dirigea vers sa chambre et alla m’installer à terre lorsque Nayomie m’invita à me coucher dans son lit.

- Bah aller vient idiote je t’invite, fait pas la carpe en me fixant ! S’exclama Nao en rigolant.

- D’accord, dis-je en montant sur son lit.

Je ne savais pas si cette nuit là elle savait très bien ce que j’aurai fait ou non, je ne savais pas si elle avait en tête tout ce qui se passa ensuite. Par contre laisser moi vous expliquez un peu plus en détail question d’être un tantinet plus clair dans mes explications, car ce doit être d’une confusion total pour vous cher lecteur n’est-ce pas ? Enfin continuons sur notre lancé, la dernière fois que j’avais été sur ce lit à cette heure je ne cacherai pas le fait que nous avions fait l’amour, je venais de la fiancée et nous étions des plus heureuse toute les deux. Seulement ce soir là c’était différent, je ne l’avais pas fiancée et nous étions loin d’être en train de ce faire plaisir. Pour les perspicaces, vous aurez compris…mais laissons tout de même la continuité des choses pour les autres. Je voyais ses yeux pétillants, au début je croyais que ce n’était qu’à cause de la fatigue, seulement plus mon cerveau me faisait approcher d’elle, plus je voyais de l’amour. Seulement pour qui ? Pour cette fille de je ne sais où ou bien pour moi ? Tout ce que je sais c’est que ce n’est pas moi qui est fait le premier pas cette fois, puis surprise je sentis les lèvres de Nayomie se déposer sur les miennes avec une passion qu’il y avait un long moment que je n’avais pas ressenti de ça part. Des milliers de papillons s’amusaient à virevolter dans mon ventre et le temps qui c’était arrêter, mais un aura de je ne savais quoi tournait autour d’elle et moi. Bon le reste cher lecteur je vous laisse deviner…mais c’était tellement merveilleux que j’aurai tellement aimé que cette nuit dure des milliers d’années.



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MessageSujet: Re: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyMer 4 Juin - 23:53

Citation :
CECI EST UN YURI ! INTERDIT AUX MOINS DE 15 ANS !!

Histoire sans nom pour le moment !

Prologue
Quelle douce musique n’est-il pas ? Le doux chant du piano, murmurant tout bas, certes, mais sagement, les évènements que certains d’entre nous n’arrivent pas à saisir d’eux-mêmes. Pourtant, lorsque nous regardons cet instrument, ce n’est qu’un objet banal, sans intérêt à nous impressionner. Par contre, lorsqu’il se met à jouer, des sentiments tabous chez certaines familles, c’est à ce moment que l’on réalise sa valeur. Rare sont ceux qui s’aperçoivent comment tant de gens si rattachent, lorsqu’ils sont malheureux, confus ou bien mépriser.

C’est avec le doux son d’un piano, que commence cette histoire, peut-être devrais-je dire ce malheur ? Personne ne sait ce qui sait vraiment passer cette soirée là, ni pourquoi tout ça c’est produit, mais comme certains sages disent; le destin est déjà tracé, c’est nos actes qui fait en sorte qu’il soit changé ou non. Cette « rime », cette phrase emplit de sagesse, est assez compliquer à saisir, les gens la comprenne plus souvent, quand un drame leurs arrivent, qu’avant. N’est-il pas étrange que je n’aie rien remarqué avant l’incident ? Uniquement un pressentiment aurait suffit pour que je ne quitte pas la maison, pour aller voir ce récital.

Le bruit strident de la sirène se postant sur le toit de l’ambulance me résonne, encore aujourd’hui, dans la tête. Ces lumières plus rouges que jamais dans la noirceur, ce dirigeant à vive allure vers l’hôpital. Tandis que moi, je reste au beau milieu du brouhaha de l’accident. J’entends lointainement des gens me parler, je ne réponds pas et ne fait que rester figé sur place; regardant le reste des automobiles presque en ruines. Je ne sais pas pourquoi je n’es pas suivit l’ambulance lors de cette tragédie, mais je me souviens du jour où ils m’ont annoncé la mort de mon seul ami.

Je ne sais pas si vous savez ce que cela fait de perdre un être qui vous est très chers. Et bien si vous ne le savez pas laissez-moi vous l’expliquer. Je me souviens plus que trop bien du mois où il est mort, nous étions en juin, nous avions à peine terminé les cours. Il voulait devenir scénariste, tout comme son père, puis ce qu’il était décidé à le devenir; que j’en étais surprise. Je me souviens encore de ces dernières paroles la dernière fois que je l’es vu sourire, que je l’es vue vivant. Il m’a dit :

- Tu sais Alex, l’an prochain je ne compte pas revenir ici…

- Et pourquoi ? Lui ais-je demander.

- Je compte aller faire des études aux États-Unis pour devenir scénariste, puis, je suis accepter, c’est génial non !? S’exclama-t-il le sourire aux lèvres.

- Bien sûr ! Par contre, là-bas, tu n’oublieras pas la petite Alex du Canada hein ? Demandais-je piteusement.

- Jamais, c’est promis ! S’exclama-t-il.

Ce fût les dernières paroles qu’il m’est dites. Ce que je regrette le plus, c’est de ne pas avoir eu le temps de lui dire qu’il était comme un frère pour moi, car malgré cette dernière conversation avec lui; parfois je le méprisais, mais il restait toujours, pour moi, un frère. Quand il est parti, je me suis sentit comme une coquille vide, une âme perdue, je n’aie même pas osé aller à ses funérailles. J’étais trop anéantie et sans énergie, j’aurai voulu qu’une chose…le rejoindre.

Chapitre un
Deux ans plus tard

- Oui je comprends, mais si vous pouviez m’accorder un délai ? Demandais-je.

- Non, je suis désolé madame, il m’est impossible de vous en donnez plus, je veux votre manuscrit demain sur mon bureau à dix heures pile ! Cria presque l’éditeur à l’autre bout de la ligne.

- Mais…, commençais-je avant de me faire raccrocher au nez.

Je déposai doucement le combiné et soupira. Vraiment quel crétin cet éditeur !

****


Nous sommes en deux mille six, j’ai vingt ans et me voilà écrivaine de roman qui se vend assez bien. Déjà deux ans qu’il est décédé, je ne suis toujours pas remis de sa mort, c’est ce qui m’empêche de rendre mes récits à la date exigée, c’est ce qui m’empêche de vivre. Depuis cette soirée, j’ai déménagé dans mon propre appartement, toujours célibataire, sans amis vraiment, excepter ceux qu’ils l’étaient avant sa mort. Toujours aussi peu rieuse, je vis ma routine en essayant d’oublier mes vieux démons. Récemment j’ai été mit sur une aide psychologique pour tentative de suicide, alors je n’aie pas besoin de vous dire, que je suis en grande dépression depuis un certain moment et que je ne vais pas bien.

****


J’observai mon salon assit sur ma chaise d’ordinateur, je tournais sur moi-même en tentant de trouver un moyen de me sortir de mon embrouille. C’était tout de même le cinquième éditeur en un mois, si je changeais encore je risquais de dire adieu à ma carrière…

Je sentis un museau tout froid me frôler le bout des doigts. Je posai mon regard vers le sol, c’était Snoopy mon petit husky, encore un petit chiot. Je lui souris, puis le prit dans mes bras, en lui adressant la parole et le caressant :

- Tu sais mon petit Snoop’ on est un peu dans la merde, tu crois que je vais m’en sortir ?

Il me fit des yeux doux et attendrissant pour ensuite japper doucement. Je lui souris et lui donna un bisou, ce qu’il était choux et avait le don de me rassurer ce petit chien tout mignon.

- À ce que je t’aime toi ! Lui dis-je en le caressant et m’amusant un peu avec lui.

C’est à ce moment exact, je crois, que la sonnette de mon appartement retentit. Je fixai la porte quelques secondes, quand la sonnette retentit une seconde fois, je regardai Snoopy et il me regarda tout gentiment et d’un air à me faire fondre.

-Tu crois que je devrai aller ouvrir Snoop’ ? Demandais-je en le regardant avec le sourire, Oui ? D’accord !

Je déposai Snoopy par terre et me leva doucement de la chaise et puis me dirigea vers la porte. Lorsque quelques centimètres me séparèrent de la poigner, j’osai enfin la prendre et la tourner, pour enfin ouvrit la porte. Quelle ne fût pas ma surprise lorsque derrière la porte se tenait, une de mes amies d’enfance. Ce qu’elle avait changé, je me souvenais d’elle, nous, nous étions connues en première de primaire. Nous, nous sommes presque jamais perdues de vue, seulement la fois où j’étais déménagé pour cohabiter avec mon défunt ami.

Avant, elle avait des cheveux châtains long jusqu’aux épaules, des cheveux qui se frisait facilement, un peu trop d’ailleurs. Puis elle était légèrement plus grande que moi, d’une beauté magnifique, puis ses yeux, c’est ce qui faisait son plus grand charme ! Maintenant, elle avait grandement changé; elle avait les cheveux courts, un peu comme la coupe chat, seulement un peu plus rebelle. Ils étaient tint noir, tandis que ses yeux étaient cernés, puis du mascara noir ainsi que du crayon noir ornait ses yeux toujours aussi mystérieux. Ses vêtements tant cas eux était assez tom boy je dirai, disons que de dos nous pourrions confondre avec un homme. Par contre cela n’empêchait pas qu’en vieillissant, elle était devenue une jolie femme.

-Je peux entrer ? Demanda-t-elle en me souriant, voyant mon mutisme.

-Tu…eh, je veux dire oui, entre ! Bégayais-je en m’enlevant du cadrage de porte.

-C’est joli chez toi Alex, confessa-t-elle dans un souffle.

-M…merci Jane, répondis-je hésitante.

Elle se tourna et me regarda, elle mit sa main sur mon front, puis elle me demanda moqueusement :

-Tu vas bien ? Tu n’arrêtes pas de bégayer.

-Je…eh, oui je vais bien, c’est juste la surprise je crois, dis-je.

-Hum…je vois, répliqua-t-elle peu convaincu.

Jane fit le tour de l’appartement, elle commença par regarder la cuisine. Elle était la pièce la plus grande de l’appart’; elle ouvrait sans gêne vers le salon. Le salon lui était quand même d’une grandeur normal, il y avait mon bureau d’ordinateur, aussi là où je travaille, il y avait un peu plus loin ma télévision et mon sofa. Près de la porte d’entrer, il y avait la chambre à coucher, il y avait aussi près de la cuisine une chambre d’ami ainsi que les toilettes. Derrière le comptoir, vers l’armoire il y avait la porte pour aller à la galerie. Bref quand elle eut fini de tout regarder, elle revint me voir, qui n’avait pas changé d’endroit.

-Vraiment jolie, hum…tu dois te demander ce que je suis venu faire ici après près de trois ans non ? Demanda Jane.

-Oui, en effet, je ne m’attendais pas à ta venue, avouais-je.

-Et bien je suis venu, car j’ai besoin de ton aide Alexandra, je suis à la rue, ma mère ma mis à la porte hier soir, annonça-t-elle, je me suis souvenu de l’adresse de ton ancien appart’ avec Zack, je suis allé voir le propriétaire qui ma donner ton adresse, voilà, puis la suite tu la connais.

-Elle t’a quoi !? M’exclamais-je.

-Jeter dehors, tu as bien entendu, dit-elle.

-Pourquoi ? Demandais-je surprise.

-Je…et bien…enfin…je lui…hum…j’ai avoué mon homosexualité à ma mère, qui la mal prit, marmonna-t-elle, très mal d’ailleurs, elle ne tient plus à me revoir, puis contenu du fait que je suis majeur, elle en a les droit.

-Tu peux rester ici autant de temps que tu veux Jane, nous sommes toujours amies, puis c’est à ça que servent les amies, non ? Assurais-je.

-Tu es sérieuse Alex ? Demanda Jane.

-Sûr et certaine, affirmais-je.

-Ce que je t’adore toi ! S’exclama-t-elle en me prenant dans ses bras et en me faisant tourner.

***


Je dois avouer que si quelqu’un aurait regardé cette scène, il aurait crut à un clicher d’amour, mais ce n’est que de la joie du moment.

***


-Ah ! Si tu n’étais pas ma meilleure amie je crois que je t’embrasserai, s’emporta Jane.

-Tu pourras dormir dans la chambre d’ami, se sera ta chambre désormais, dis-je en lui souriant.

-D’accord, je te remercie encore, vraiment, merci, tu ne sais pas comment tu m’aide, dit-elle.

-Par contre, il y a quelques règles à suivre, tout d’abord, tu dois te ramasser, car même si cet appartement est assez grand, je tiens à ce que tout soit au minimum propre. Tu n’as pas le droit d’entrer dans ma chambre sans permission et je ferai de même pour ta chambre, c’est correct avec toi ? Expliquais-je.

-Tout à fait, je vais aller chercher mes valises que j’ai laissées dans le couloir, dit-elle avant de se diriger vers la porte.

C’est à ce moment, que d’après mes souvenirs, cette flamme d’amour c’est enflammer peu à peu entre nous.



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MessageSujet: Re: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyMer 4 Juin - 23:56

Citation :
CECI EST UN YURI ! INTERDIT AUX MOINS DE 15 ANS !!

Suite de No name !!

Chapitre deux

Une douce brise, d’été, fraîche plane dans l’air, les grillons chantent joyeusement la chaleur de demain, tandis que les rues sont silencieuses, avant que lointainement, des crissements de pneus entre en contacts avec le silence absolu. Quelques secondes plus tard, nous pouvons entendre un fracassement énorme, puis une explosion, une des voitures à exploser à cause de l’écoulement de gaz. C’est alors que je me retrouve en face de cet accident sans savoir quoi faire, je reste seulement figée sur place. J’entrevois par contre le visage d’un jeune homme définitivement mort, saignant par l’oreille droite, le front ensanglanté et de large coupure sur ses mains pendante en dehors de la voiture.

***


C’est alors que je me réveillai en sursaut, en sueur et en larmes, je venais de faire à nouveau un cauchemar sur son accident. Je le voyais encore mort dans la voiture, même si je n’avais pas les yeux fermer, je n’avais pas besoin de faire ce geste pour voir une horreur que je ne tenais plus à me souvenir. Mon psy’ avait appelé ces cauchemars, une façon de me consoler en me disant qu’il était déjà mort avant qu’il tente de le sauver à l’hôpital. Seulement je ne croyais pas trop cette théorie, ces cauchemars ne sont que le signe de ma tristesse…

Je décidai de me lever doucement pour aller à la salle de bain, me changer et être fraîche et dispo; je pris mon linge, avant d’aller dans la douche. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis arrêter doucement pour voir, entre l’ouverture de la porte, une jeune femme ultra mignonne qui dormait paisiblement. Je ne peux pas me cacher que je l’enviai un peu de réussir à dormir plus que trois heures par jours. Je souris plus pour moi-même avant de tourner les talons et de me diriger dans la salle de bain, pour prendre une bonne douche froide. Je sortis que une demi-heure plus tard, j’avais tardée, pour le simple fait de sentir l’eau froide glisser sur ma peau chaude et endolorie.

Les cheveux détrempés, raide comme à leur habitude lorsqu’ils sont en contacts avec l’eau, une brosse à la main, j’allai m’asseoir dans le salon où dormait paisiblement Snoopy. Je souris tendrement et ouvrai la télé, en prenant soin de baisser convenablement le son pour ne pas réveiller personne.

Ce ne fut que quelques heures plus tard que Jane se réveilla enfin, sortant de sa chambre en s’étirant et baillant longuement. Elle avait les cheveux en bataille, mais ils semblaient assez bien peigner. Elle traîna dans un pyjama particulier, elle n’avait qu’une petite culotte et un chandail d’un groupe de rock métal qu’elle devait sûrement aimer. Jane me sourit en me voyant assit dans le divan tout affaler les cheveux, maintenant, sèche et Snoopy sur mes jambes, toujours aussi endormie. Elle vint vers moi puis prit place où peu avant Snoopy dormait paisiblement.

- Bien dormi Alex ? Demanda-t-elle visiblement inconsciente du fait que je ne dormais quasi plus.

- M’oui, si on veut…toi ? Répondis-je en regardant toujours l’écran de la télé.

- Hum... je vois…oui j’ai bien dormi, comme un bébé je dois dire, avoua Jane.

- Super, je suis contente que tu te sentes à l’aise ici, confessais-je.

Jane qui flattait doucement Snoop’ releva la tête vers moi et me demanda :

- Tu as déjeunée ?

- Hum... non, d’ailleurs il est quelle heure ? M’exclamais-je assez bas.

- Il est…, commença-t-elle en tentant de voir l’heure sur le micro-onde, neuf heures trente très
exactement très chère demoiselle ! Enrichis Jane.

- Que vas-tu manger pour déjeuner ? Demandais-je sans avoir de sujet de conversation pertinent.

- Hum je crois que je vais manger…un sandwich aux tomates ! Dit-elle joyeusement, les yeux pétillant de désir.

- À neuf heures trente du matin !? M’écriais-je avec dégoût.

- Tout à fait ! Tu veux essayer ? Demanda Jane en se dirigeant vers le frigo.

- Je…eh…non pas vraiment, pas à cette heure, bredouillais-je surprise de ses goûts culinaires.

- Très bien, dit-elle en haussant les épaules.

Elle fouilla dans le frigo, pour en sortir une tomate et de la mayonnaise. Elle se rendit alors compte qu’elle ne savait pas où se trouvaient les ustensiles.

- Eh…Alex ? Où est le tiroir à ustensiles ? Demanda-t-elle un peu gêner de son ignorance.

Je lui souris et vint la rejoindre pour lui montrer où ils étaient et par la même occasion montrer où est le reste de l’attirail au cas où elle serait prise seule à ce faire à manger.

- Alors là c’est les assiettes, les bols et les verres, je crois que je n’es rien oublier, expliquais-je en montrant l’endroit après un bon cinq minutes de « présentation ».

- Très bien merci de cette présentation intime avec tes instruments de cuisine, rigola Jane.

- Rooo, mais ne te moque pas, sinon tu vas te débrouiller seule hein ! Bougonnais-je.

- D’accord, d’accord Alex bougonneuse, alors dit-moi, tu tiens vraiment à manger du boudin ce
soir ? Fit-elle remarquer en souriant.

- Bon fait ton sandwich aux tomates et étouffe toi avec un peu c’va m’faire des vacances…, aboyais-je.

- Oh aller ne me fait pas la tête Alex, ce n’est pas cool, dit-elle en faisant la moue.

Je levai les yeux au ciel et soupira.

- Ma gentillesse va me tuer, bon tu as besoin d’aide pour ce…déjeuner ? Finis-je par dire.

- Oui, que tu me coupe les tomates, comme tu faisais quand nous étions ados tu te souviens ? Interrogea Jane.

- Oui, quand nous étions chez toi et que ta mère était au boulot ou bien chez des amies et que tu avais envie de ce genre de dîner, j’étais là seule qui coupaient tes tomates quand j’étais dans le coin, me remémorais-je.

- C’était le bon temps, non ? Confessa Jane.

- Oui tu as tout à fait raison, bon aller passe-moi ce couteau et cette tomate qui va finir dans ton ventre ! M’exclamais-je avec joie.

Elle me sourit et me passa le couteau avant de sortir le pain de l’armoire et de le faire toaster. Elle se tourna et me regarda, ce que, en passant, je ne remarquai pas. Elle était adosser sur le comptoir et me fixa, d’une façon assez amoureuse ou plutôt contemplatrice.

Comment je sais son regard et sa position si je ne savais pas qu’elle me regardait hein ? Et bien lorsque je me suis retourné une fraction de seconde, c’est à ce moment que j’ai bien remarqué son regard, ce regard que jamais je n’oublierai.

Chapitre trois

Ces lèvres étaient si douces, son baiser si délicat, il me donnait des frissons à travers tout le corps. J'avais l'impression que je me sentais flotter, comme si une tornade venait de nous emporter dans le creux d’elle-même et que nous tournions lentement. Je sentis le bout de ses doigts, d’une chaleur ni froide, ni tiède, me chatouiller involontairement l’échine…

***


Cela aurait pu aller plus loin, mais c’est exactement à la fin de ce geste que je me réveillai, non pas en sueur, mais surprise. Dans ce rêve, si je peux le qualifier ainsi, ce n’était pas un garçon que j’embrassais, mais ma meilleure amie ! Depuis quand je faisais des rêves aussi…intenses avec Jane je n’en avais aucune espèce d’idée. Peut-être depuis deux jours, depuis son regard, sa contemplation sur moi et mon physique. J’avais beaucoup entendu parler de la découverte lesbienne typique, la fille tombe amoureuse de sa meilleure amie et sa meilleure amie aussi ou bien d’autre fois la rejette. Par contre, je dois vous avouer que ce jour-là, j’avais pensez différemment d’aujourd’hui, j’aurai voulu que Jane soit hétéro ramène des conquêtes tous les soirs que je l’entends bien pour que mon cerveau comprenne que je ne peux l’avoir. Seulement c’était différent, Jane était belle et bien intéresser à moi et me voulait, ça se voyait quand je revoyais son regard a répétition dans ma tête.

***


D’ailleurs, c’est seulement plus tard que je compris que je l’aimais vraiment, je crois; mais si vous voulez bien nous allons y aller par l’étape entre ce réveille brutal et la journée où j’ai enfin accepté mon amour pour Jane.

***


Je soupirai un moment, puis, je sortis de mon lit avec difficulté à me réveiller comme il faut contenu du fait que je me retrouvai quelques secondes plus tard face contre terre. Le bruit de ma chute se fit entendre dans tout l’appartement, ce fût suivit rapidement par quelques jurons typiquement québécois. Je crois que pour me relever de face contre terre cela ma prit un bon vingt minutes. Ce fut même Jane qui arriva en courant, après avoir entendu ma chute pour venir m’aider. Seulement vu qu’elle se marrait et bien elle avait de la difficulté à m’aider.

- Tu t’es bien marrer, c’est bon tu peux crever maintenant ? Répliquais-je avec un sac de glace sur mon nez légèrement bleu.

- Rah aller Alex ne me boude pas, tu dois avouer que c’était marrant te voir par terre comme ça, non ? Demanda-t-elle innocemment.

- Pas du tout maintenant j’ai le nez tout bleu et ça me fait terriblement mal ! Hurlais-je presque hors de moi.

Jane soupira et se leva de la chaise de cuisine pour venir me voir. Elle me regarda droit dans les yeux. Ce que je me suis sentie bizarre à ce moment ! J’avais carrément l’impression de fondre de désir sous son charme. Elle déposa le sac sur la table et s’approcha un peu plus de moi, puis c’est à ce moment que nos lèvres s’effleurèrent…

***


Bien sûr comme vous devez, vous en doutez, Jane ne s’est jamais lever pour m’embrasser, c’est bien sûr encore mon cerveau qui a été le fautif. Seulement quand elle s’est levée elle est allée me chercher des tynenol pour m’enlever un peu de douleur.

***


- Tient avale ça ! Tu iras mieux après, me dit Jane en me tendant deux tynenol et un grand verre d’eau froide.

- Merci, remerciais-je.

- De rien, mais tu sais, c’est pas trop malin ce que tu as fait. Comment tu as fait ton compte pour tomber de ton lit comme ça ? Demanda-t-elle en me changeant de sac de glace car elle avait pratiquement tout fondu.

- J’en sais rien j’ai fait un drôle de rêve où…, commençais-je en hésitant à dire mes derniers mots.

- Où ? Insista Jane.

- Où Zack n'était jamais mort, mentis-je.

- Hum…, dit-elle inconvaincu.

En fait, je savais très bien que Jane n’avait rien gobé de ce je venais de lui dire, elle savait toujours lorsque je mentais. Peut-être à cause d’un tic que je ne connaissais pas l’existence, j’en sais trop rien. Je soupirai un peu honteuse d’avoir menti.

***


Si vous saviez ce que c’était dur dans ce temps-là de me l’avouer. Après tout, toute ma vie je m’étais cru à cent pourcent hétéro et me voilà que je tombais amoureuse de ma meilleure amie. Je ne m’acceptai tellement pas, que j’en aie fait des conneries tellement stupides…
C’est peu après ce rêve que j’ai commencé à faire des conneries, je sortais tout les soirs dans les bars n’avertissant que très peu Jane, me saoulait et ramenait des conquêtes tous les soirs sans cacher ce qui ce passait la nuit. Je ne sais pas si je faisais cela pour me convaincre que je n’étais pas lesbienne ou bien pour faire comprendre quelque chose à Jane. De toute manière peu importe la raison elle était fausse et stupide. Ce ne fût qu’un certain soir que je décidai d’arrêter mes conneries, car j’avais remarqué mon erreur, mais laissez-moi mieux vous expliquez.

***


- Jane, c’est moi, j’suis de retour, dis-je d’une voix un peu bizarre, j’étais encore saoule, mais moins que certains soirs.

Je posai mon regard par terre et je fis un de ces bonds que j’en tombai sur Guillaume, ma conquête de ce soir là.

- Ben voyons criss kesser t’a ? demanda Guillaume.

Après c’est quelques paroles, je ne sais pas trop pourquoi je me suis senti éveiller et ayant tout mes sens. Le sang que je venais de voir m’inquiétait trop, mon cœur battait la chamade, je n’avais qu’une peur en me ruant vers le salon, là où le sang me dirigea, de retrouver Jane morte et tout ça à cause de mes conneries. Quel ne fût pas mon cri d’horreur quand je vis Jane adosser sur l’un des murs du salon un bras pendant vers moi et l’autre sur le côté tenant un couteau taché d’un rouge foncé. C’est lorsque j’accouru au côté de Jane que, je crois, Guillaume me demanda :

- Qu’est-ce que tu crisse à geuler comme une per…

Il s’était arrêté de parler en voyant Jane et moi, qui la tenait dans mes bras, près du mur.

- Appelle une ambulance Guillaume vite ! Dis-je en larmes.

- Et merde…, fit-il seulement répété sans arrêt.

- GUILLAUME APPELLE UNE AMBULANCE MAINTENANT DÉPÊCHE ! Hurlais-je hors de moi.

- O…oui… dit-il avant d’aller appeler.

Je la serrai tendrement contre moi en pleurant comme une conne, pourtant je savais que c’était de ma faute. Si seulement je n’avais pas fait la stupide de première, Jane ne serait jamais sur le point de mourir. Quand Guillaume eut raccroché, il me dit qu’il partait et que les ambulanciers arriveraient. Lorsque les ambulanciers sont enfin arrivés ils m’ont posé des questions et m’ont dit de venir avec eux si je le voulais. C’est quand je fus arrivé à l’hôpital que la terre arrêta de tourner, tout ce que je pensais en ce moment c’est de prier de tout mon cœur que Jane s’en sorte vivante et sans séquelles, car jamais je ne me le pardonnerai…


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MessageSujet: Re: ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~   ~~::Galerie d'Angel_2oo8::~~ EmptyJeu 5 Juin - 0:03

Souvent j’ai crus avoir une vie de merde
Seulement je n’avais pas regardé autour de moi
Je n’avais pas vu qu’il y avait d’autres personnes
D’autre personnes qui eux ce faisait plus que simplement traiter de gouine
Eux ils vivent l’enfer et moi dans mon petit bled pourri je chigne de minable insulte

Putain d’homophobes, jamais je les aient autant haï
Jamais ils n’avaient été aussi cruels
N’ont-ils pas de cœur bordel ?
Ne connaissent-ils pas l’amour eux aussi ?
Ne savent-ils pas ce que c’est d’aimer !

Ils ont détruit la vie de deux jeunes femmes et n’en détruirons encore
Quand vont-ils s’arrêter de faire du mal autour d’eux !
J’aurai envie de leurs hurler a ces pauvres cons qu’ils détruisent des vie amoureuses
Des personnes, des êtres humains, des vies !

Seulement en imaginant tout ça j’ai envie de pleurer et de frapper
Je tremble chaque jour, plus le temps passe, plus je tremble, plus j’ai peur
Ces cons ont détruit la vie de deux jeunes femmes qui s’aimaient pour la vie
Jamais ils ne seront pardonner de faire autant de mal

Jamais je ne leurs pardonnerai les vies qu’ils ont prit et qu’ils prendrons…

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